En France, le port du masque n’est plus obligatoire dans les transports en commun
Le 16 mai dernier a marqué un tournant important dans notre lutte contre la pandémie mondiale : après les bars, les cafés et les restaurants, ce sont les transports en commun qui bénéficient de la levée de l’obligation du port du masque. Les Français ont donc retrouvé le sourire dans les trams, les métros, les bus, les trains et même les avions !
Mais après tant de mois cachés derrière un masque chirurgical (ou un masque FFP2), sommes-nous vraiment prêts à renoncer à cette protection ? N’est-il pas trop tôt pour un retour à la normale, d’autant que les autorités précisent que le port du masque chirurgical est toujours recommandé ? Des scientifiques ont bien évidemment apporté des réponses à cette interrogation plus que légitime.
En tant que fabricant de masques français, Franprotec revient aujourd’hui sur ces changements afin de vous permettre d’y voir plus clair !
Plus de masque chirurgical dans les transports en commun : bonne ou mauvaise idée ?
C’est un fait : le nombre de contaminations et d’hospitalisations pour forme grave de la COVID-19 était en baisse dans les mois précédents. C’est d’ailleurs pour cette raison que le gouvernement a voté en faveur du retrait du masque chirurgical dans les lieux publics.
Les scientifiques, quant à eux, ont pour la plupart approuvé l’assouplissement des mesures, considérant le risque d’une nouvelle hausse relativement faible. Et les chiffres nous le confirment ; après presque un mois dans l’expectative, aucune alerte n’a été déclenchée ! Il ne nous reste plus qu’à espérer que la tendance se confirme. Notez toutefois qu’à l’approche de l’été, l’optimisme est de mise, puisque le coronavirus réagit mal à la chaleur.
Quant aux Français, ils sont absolument ravis de voir cet accessoire disparaître, au moins pour un temps, de leur quotidien. Certains choisissent cependant de conserver le masque chirurgical dans les transports, notamment aux heures de pointe. Il s’agit en grande majorité de personnes plus fragiles qui ne souhaitent pas prendre de risque.
Mais rappelons que si le port du masque n’est plus une obligation, il reste un droit. Vous êtes donc libre d’en porter un si vous le désirez !
Pas de changement dans les établissements de santé ?
Après la disparition du masque dans les bars, les cafés et les restaurants, puis dans les transports en commun, une question est sur toutes les lèvres : où le port du masque est-il encore obligatoire en France ? La réponse est simple : dans les institutions de santé, ce qui regroupe les hôpitaux, les EHPADS, les pharmacies, les cabinets médicaux ou paramédicaux, etc.
Une décision logique pour le gouvernement qui souhaite, depuis le début de la pandémie mondiale, protéger les plus faibles d’entre nous. En effet, les établissements de santé concentrent nombre de personnes à risque qui pourraient développer une forme grave du coronavirus.
Néanmoins, une vague de contestation a récemment fait son apparition, justement parce que ces restrictions nuisent à la vie sociale des personnes concernées, et notamment des plus âgées. Dans les EHPADS, les résidents ne sont pas libres de circuler ou de communiquer comme ils l’entendent. La direction peut ainsi imposer des règles plus strictes, en raison d’une augmentation du nombre de cas COVID entre ses murs, par exemple.
Les pensionnaires et leur famille vivent très mal cette situation. Les conséquences sur leur moral sont considérables, raison pour laquelle certains appellent à un juste équilibre. En vérité, ce n’est pas tant le port du masque chirurgical en dehors de la chambre qui pose problème, mais plutôt les restrictions de visites liées à un pass vaccinal pas tout à fait en ordre. Mais est-il vraiment utile d’interdire l’accès à l’établissement si seule la dernière dose est manquante ?
Un débat qui fait actuellement beaucoup de bruit, mais dont la conclusion paraît évidente : évitons tant que possible les inégalités entre les institutions de santé pour favoriser le bien-être de leurs pensionnaires !
L’exception qui confirme la règle : le port du masque obligatoire aux frontières
Si certains de nos voisins comme la Belgique et la Suisse ont eux aussi décidé de lever l’obligation du port du masque, ce n’est pas le cas de tous les pays limitrophes. Ainsi, si vous avez l’intention de vous rendre en Italie, en Espagne ou au Luxembourg en transport en commun, n’oubliez pas d’ajouter un masque dans votre sac !
Cela est d’autant plus vrai à la frontière luxembourgeoise qui fait l’objet de multiples allées et venues du côté des travailleurs. Heureux sont les Luxembourgeois qui pourront profiter d’un assouplissement des mesures durant leur journée de travail, mais attention au trajet retour !
De même, les Français devront dégainer leur masque chirurgical dès le passage de la frontière, en d’autres termes directement dans le train ou dans le bus. Des contrôles réguliers ont déjà été annoncés afin d’inciter chacun à respecter la règlementation du pays dans lequel il se trouve.
Alors, si vous avez besoin d’acheter des masques chirurgicaux, et que vous souhaitez par la même occasion privilégier le masque made in France, c’est le moment de passer commande sur le site de Franprotec ! Grâce à des usines situées dans le Nord, les délais de livraison sont plus courts que jamais !